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Louise Ouellet

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« Sans L’Hôpital de Moncton, je ne serais pas ici aujourd’hui. »

 

Pour de nombreuses femmes, les signes d’une crise cardiaque ne sont pas ce à quoi elles s’attendent. Dans le cas de Louise Ouellet, qui avait suivi un traitement pour une embolie pulmonaire survenue en 2015, sa première visite à l’Hôpital de Moncton en 2019 était loin de l’inquiéter. Elle croyait être prête à rentrer chez elle après quelques jours, même si le personnel médical lui conseillait de rester un peu plus longtemps.

 

« Je ne réalisais pas vraiment ce qui m’arrivait, même si on me disait que ma vie était en danger. Ça ne m’a pas traversé l’esprit à ce moment-là. Peut-être à cause d’un manque d’oxygène à mon cerveau. »

 

Deux jours plus tard, une douleur derrière le genou s’est vite transformée en une difficulté à respirer et Louise s’est retrouvée aux urgences, où elle a été admise immédiatement. Peu de temps après, elle a fait un arrêt cardiaque complet. Les événements qui ont suivi sont un peu flous.

 

« Je me souviens avoir vu une infirmière et des médecins au-dessus de moi et avoir ressenti une douleur intense. Ils m’ont intubé et quand j’ai repris connaissance, après plusieurs jours, j’ai vu ma fille. Ils m’ont demandé de lui serrer la main et c’est ce que j’ai fait. Je suis tellement chanceuse d’être ici en ce moment, je vis le jour présent, et cette expérience m’a vraiment appris à profiter du moment présent. »

 

Louise ne trouve pas les mots pour exprimer sa reconnaissance envers le personnel et les soins qu’elle a reçus au cours des trois semaines qui ont suivi sa crise cardiaque.

 

« Les membres du personnel infirmier ont tellement été patients avec moi. Je pouvais sentir à quel point ils se souciaient de moi et ils répondaient à tous mes besoins. J’avais l’impression d’être dans un hôtel cinq étoiles », raconte-t-elle en riant. « Ils avaient toujours une longueur d’avance, par exemple si vous laissiez tomber une balle sans pouvoir les prévenir, ils seraient là pour l’attraper sur-le-champ. On peut dire qu’ils sont excellents dans ce qu’ils font, ils ont de l’expérience. Je me sentais en sécurité quand j’étais là. »

 

Après avoir vécu un tel événement, Louise a tissé un lien étroit avec le personnel de L’Hôpital de Moncton. « Je fais partie des trois pour cent de ceux qui survivent à ce genre de choses et sans eux, je ne serais pas ici aujourd’hui. L’Hôpital de Moncton m’est très cher. Ils ont vraiment fait un excellent travail, ils ont été si professionnels et rapides. Je leur en serai éternellement reconnaissante ».

 

« Chaque fois que je passe devant l’hôpital, je les embrasse comme ceci et je leur dis : “merci!” Chaque fois, sans faute! »

 – Louise Ouellet

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